Porque jugamos?

Jugamos para disfrutar y para gozar. Algunas personas juegan con la esperanza de ganar dinero- y asi poder alcanzar y saborear lo que trae consigo un gran “loteriazo” y de esa manera obtener los medios financieros para hacer sus suenos realidad. Otras juegan por diversion o entrenimiento; una noche en el casino con los amigos, o un juego de bingo para recolectar fondos de caridad, o quizas compran billetes de loteria ocasionalmente. Asi tambien, hay personas que juegan porque sencillamente les encanta el reto, el ambiente, y la emocion del “juego”.

Segun el Centro de Adiccion y Salud Mental (CAMH), (Centre for Addiction and Mental Health, CAMH), los adultos en Ontario que no tienen problemas con los juegos de azar o apostar, juegan por las siguientes razones:

Para ganar dinero

Para socializar

Por placer

Para pasar el tiempo

 

 

 

 

 

 

 

Les adolescents et le jeu

Un des défis propres au passage des adolescents vers l’âge adulte consiste à prendre les bonnes décisions tandis qu’ils subissent les pressions de leur entourage. L’expansion rapide de l’industrie du jeu a modifié l’opinion de bon nombre de personnes sur ce qu’est le jeu acceptable – et sur ce qu’est un âge raisonnable pour commencer à jouer.

L’étude des jeunes joueurs n’en est qu’à ses débuts. Voici ce que révèlent les recherches qui ont été faites:

– Les taux de joueurs adolescents dans les villes américaines et canadiennes sont sensiblement les mêmes (de 52 à 89 % des jeunes s’adonnent à des jeux de hasard);

– Les types de jeux informels (cartes et paris sportifs) sont populaires chez les joueurs mineurs;

– Les adolescents ont tendance à s’adonner à des jeux de façon mensuelle ou hebdomadaire; cependant, certains jouent tous les jours.

De 3 à 4 % des adolescents risquent de devenir des joueurs pathologiques;

Les adolescents qui ont d’autres problèmes (comme l’abus d’alcool et d’autres drogues) courent un risque plus grand de se retrouver avec un problème de dépendance au jeu.

(Sources : CNRC, 1999; Fondation manitobaine de lutte contre les dépendances, 1990, et Omnifacts Research, Nouvelle Écosse, 1993)

Quels sont les risques pour les jeunes joueurs?

Comme l’esprit et le corps des jeunes personnes sont encore en train de se développer, il peut être encore plus difficile pour ces dernières de maîtriser leurs impulsions et de prendre de sages décisions concernant la façon et le moment de jouer.

Certains facteurs, comme le fait de se sentir marginal, d’avoir des difficultés à l’école ou d’avoir des parents qui affichent de mauvais comportements liés au jeu, ne sont que quelques unes des raisons pour lesquelles les adolescents connaissent des problèmes. La pression des pairs peut également contribuer au jeu excessif. Certains adolescents pensent que s’adonner au jeu, c’est un ” rite de passage “. D’autres n’ont rien de mieux à faire.

Étant donné que le jeu est devenu plus acceptable socialement pour les adultes, il est facile pour les jeunes de minimiser la gravité d’un problème de dépendance au jeu et de rejeter le blâme sur d’autres facteurs.

Le fait que le jeu est illégal peut être un facteur stimulant pour certains jeunes joueurs. Bien que la loi interdise aux mineurs l’accès aux établissements de jeu, il y a bien d’autres façons dont les adolescents peuvent s’adonner à des jeux de hasard.

Signes de jeu excessif chez l’adolescent

· Ne peut pas se confier.

· Se sent exclu, anxieux, inquiet et déprimé.

· Vit des expériences négatives à l’école.

· Connaît une première expérience précoce de jeu.

· Parle le ” jargon ” des jeux de hasard.

· Manifeste d’autres comportements à risque.

Donner aux adolescents les moyens de se prendre en main

· Réduire le risque : réduire les dommages.

· Ne pas insister sur l’abstinence – donner des choix.

· Encourager la prise de décisions éclairées – ne pas avoir recours à la peur.

· Fournir des renseignements solides.

· Communiquer des messages positifs.

Xaqiiqada Dhibaatada Qamaarka

95% dadweynaha qamaara waa ay ka ladanyihiin dhibaatooyinka qamaarka, laakiin

5% dadweynaha waa qamaarayaal dhibban.

1% ka mid ah 5% dadweynha waa kuwo aan ka joogi Karin qamaarka oo uu ku noqday cudur.

Dad badan oo qamaara ayaan qabin dhibaatooyinka lagu yaqaanno qamaarka. Dadka intiisa badan wey qamaaraan iyagoo naftooda ama cid kale aan dhibaateyn. Warbixin ay soo saartay Xarunta Idmaanka Iyo Caafimaadka Maskaxda 1995 waxey ku sheegtay in 84% dadweynaha ay ugu yaraan sannadkiiba mar qamaaraan, 1/3 dadweynaha (33%) ay ka qeyb qaateen ugu yaraan saddex nooc oo ka mid ah qamaarka sannadkii 1994 (Ferr 1996).

Sidaas ay tahay, waxaa jira qeyb ka mid ah dadweynaha oo ku dhaceysa “dhibaatada qamaar-dheelka”, dhibaatadaas oo wax badan la wadaagta waxyaalaha kale oo iyaguna keena idmaanka. 50% ka mid ah dadka qamaara waxaa la ogyahay iney qabaan dhibaatooyinka la xiriira isticmaalka mukhaadiraadka. Sagaal ilaa iyo siddeed boqolkiiba dadka isticmaala mukhadiraadka waxey ku dhacaan dhibaatada qamaarka-cayaarka. Isticmaalka mukhadiraadka wuxuu aad ugu badanyahay qamaarayaalka da’da yar.

Jason Azmier, oo ah falanqeeye siyaaseed oo u shaqeeya hay’adda Canada West Foundation, wuxuu sheegay in ay adagtahay in la ogaado qofka ay toos u saameeysey dhibaatada qamaarka sababtoo ah waa cudur qarsoon.